LA SODES SALUE LA CRÉATION DU GROUPE DE RECHERCHE SUR L’ÉCOSYSTÈME DU FJORD DU SAGUENAY

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Québec, le 9 juin 2022 – La Société de développement économique du Saint-Laurent (Sodes) se réjouit de l’annonce faite hier par l’Institut nordique de recherche sur l’environnement et la santé au travail (INREST) en collaboration avec l’UQAC et l’Université Laval quant à la mise en place d’un groupe de recherche sur l’écosystème du fjord du Saguenay.

La création de ce groupe permettra d’étudier l’écosystème du fjord du Saguenay et les habitats, de même que l’influence humaine. Les connaissances scientifiques qui vont être développées par les chercheurs de haut niveau vont permettre de combler et de compléter les connaissances sur les habitats, la flore et la faune du fjord du Saguenay.

« Cet investissement de 5.6 M$ rendu possibles grâce à l’engagement du Port de Saguenay, de Rio Tinto, de Promotion Saguenay et du Gouvernement du Québec dans le cadre de la stratégie Avantage Saint-Laurent démontre toute l’importance de travailler ensemble et de fédérer les acteurs du milieu autour d’enjeux communs. Ce projet visant le développement des connaissances est essentiel si nous voulons mieux comprendre l’impact du transport maritime sur le Fjord et l’adapter afin de le concilier développement économique et protection des écosystèmes. » Mathieu St-Pierre, président-directeur général de la Sodes.

À propos de la Sodes
La Société de développement économique du Saint-Laurent (Sodes) est un organisme sans but lucratif dont le mandat est de protéger et de promouvoir les intérêts économiques du Saint‑Laurent. Elle représente la communauté maritime, ce qui inclut des intervenants privés et publics dont les activités ont un impact direct ou indirect sur l’économie du fleuve, et ce, dans toutes les régions du Québec. La Sodes se veut l’interlocutrice privilégiée des gouvernements en ce qui a trait au développement et à la vie économique du Saint-Laurent, que ce soit en matière de transport des marchandises et des passagers, de développement régional ou d’environnement.

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Source :
Marie-France Daoust
Directrice des affaires corporatives
514 594-5951
marie-france.daoust@st-laurent.org

Pour consulter le communiqué de presse en PDF

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Nouvelle Présidence au Conseil d’Administration du Port de Sept-Îles

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SEPT-ÎLES, le 7 avril 2022 – Le Port de Sept-Îles est heureux d’annoncer la nomination récente de monsieur Bernard Lynch et madame Nancy Jourdain respectivement à la présidence et à la vice-présidence du conseil d’administration du Port de Sept-Îles.

Monsieur Lynch, maintenant à la retraite, a oeuvré à titre d’avocat plaideur, spécialisé en litige de nature criminelle et pénale au sein du Centre communautaire juridique de la Côte-Nord de 1999 à 2019. Natif de Sept-Îles, il possède une expertise reconnue en négociation et positionnement stratégique, notamment à l’égard des questions économiques et environnementales. Monsieur Lynch est membre du conseil d’administration du Port de Sept-Îles depuis 2019, ayant été nommé par le ministre de Transports Canada sur recommandation des usagers du Port.

Madame Jourdain, a été avocate en pratique privée à l’étude Cain Lamarre pendant dix ans avant d’oeuvrer au sein du Conseil de bande Innu Takuaikan Uashat mak Mani-Utenam à titre de Directrice, services juridiques et ressources humaines, et technologies de l’information depuis 2009. Elle possède une vaste expérience en droit, gestion des ressources humaines, informatique et planification stratégique. Madame Jourdain est membre du conseil d’administration du Port de Sept-Îles depuis 2017 ayant été nommé par le ministre de Transports Canada.

Les autres membres du conseil d’administration sont :
• Mme Mirka Boudreau, nommée sur recommandation des usagers du Port au ministre de Transports Canada ;
• M. Serge Lévesque, nommé sur recommandation des usagers du Port au ministre de Transports Canada ;
• M. Jean-François Bonneau, nommé par la Ville de Sept-Îles ;
• M. Gilles Couture, nommé par le ministre des Transports du gouvernement du Québec.

« Tous les membres du conseil d’administration se joignent à nous pour souligner l’apport du président sortant, monsieur Carol Soucy, qui aura été membre du conseil sur trois périodes totalisant plus de 19 ans. Son expérience d’homme d’affaires aguerri, ainsi que sa vision de développement ont contribué grandement aux nombreuses réalisations du Port de Sept-Îles durant ces années. Du même coup, nous en profitons pour souhaiter la bienvenue à monsieur Jean-François Bonneau qui s’est joint à nous en avril 2021 et monsieur Gilles Couture, nouvellement nommé en février dernier », de déclarer conjointement monsieur Lynch et madame Jourdain, président et vice-présidente du conseil d’administration du Port de Sept-Îles.

PLANIFICATION STRATÉGIQUE
À la sortie de la tenue de son activité de planification stratégique annuelle, le conseil d’administration et toute l’équipe du Port de Sept-Îles se sont dotés de nouveaux objectifs stratégiques établis selon la volonté de l’organisation de maintenir son rôle de leader pour un développement durable et innovant dans sa communauté, pour ses usagers et sur le Saint-Laurent. La restauration du terminal Mgr-Blanche construit en 1960 fera partie des priorités afin de le rendre plus accessible et agréable à la population et aux croisiéristes. Toujours axé sur l’importance de la préservation de l’environnement et l’état de santé de la baie de Sept-Îles, le Port de Sept-Îles entend s’inscrire comme agent mobilisateur dans la vague présente de transition énergétique, en favorisant les initiatives visant le développement de projets d’énergies vertes et la décarbonisation dans la région.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES
Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 40 millions de tonnes en 2022. Il est également reconnu comme le plus important terminal portuaire de l’industrie de l’aluminium primaire des Amériques pour son volume d’activités. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Pionnier sur le Saint-Laurent avec l’implantation du premier observatoire de veille environnementale de son écosystème marin, le développement durable est bien ancré dans ses valeurs et ses actions.

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Source :
Patsy Keays, directrice, Affaires corporatives & secrétaire corporatif
Port de Sept-Îles
418 961-1235
pkeays@portsi.com

 

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Ouverture de la voie maritime : le premier bateau de la saison 2022 naviguera dès le 24 mars

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Ouverture de la voie maritime : le premier bateau de la saison 2022 naviguera dès le 24 mars

La 64e saison de navigation 2022 de la voie maritime du Saint-Laurent sera officiellement lancée le 24 mars 2022. Pour souligner le passage du premier bateau de l’année au Canal Welland, la Corporation de gestion de la voie maritime du Saint-Laurent (CGVMSL) tiendra un événement sur place qui rassemblera notamment des dignitaires du gouvernement canadien, ainsi que des représentants des Corporations canadienne et américaine.

Ce sera alors l’occasion pour la Corporation de partager leurs attentes sur l’année 2022 et d’expliquer la place de la voie maritime dans la relance économique du Canada et son rôle dans la chaîne d’approvisionnement mondiale. Une œuvre d’art impressionnante sera dévoilée sur le vraquier de classe Trillium CSL Welland, le premier navire à transiter par le canal Welland.

Si vous ne pouvez pas vous rendre à l’écluse, un lien pour accéder à la conférence en virtuel vous sera partagé peu après l’événement. De plus, des images photos et vidéo (b-roll) seront disponibles pour utilisation par les médias.

QUOI : Ouverture de la saison de navigation 2022 de la voie maritime du Saint-Laurent
: St. Catharines Museum & Welland Canals
Centre 1932 Welland Canals Parkway (Écluse 3)

QUAND : Le jeudi 24 mars 2022, à 10 h
QUI :
• Craig Middlebrook, administrateur adjoint, The Great Lakes St. Lawrence Seaway Development Corporation (États-Unis)
• Louis Martel, président et chef de la direction, Groupe CSL
• Terence Bowles, président et chef de la direction, Corporation de Gestion de la Voie Maritime du Saint-Laurent
• Jim Bradley – député, région du Niagara
• Walter Sendsik, maire de St-Catharines
• Sera présent virtuellement : L’honorable Omar Alghabra, ministre des Transports, Gouvernement du Canada

Pour assister à l’événement vous devez obligatoirement vous inscrire auprès de la personne-ressource. Si vous souhaitez obtenir une entrevue en marge de la cérémonie, veuillez également communiquer avec la personne ressource.

À propos de la Corporation de gestion de la voie Maritime du Saint-Laurent
La Corporation de gestion de la voie maritime du Saint-Laurent (CGVMSL) a été créée en 1998 comme une corporation à but non lucratif par le gouvernement du Canada. Elle gère et exploite les installations canadiennes de la voie maritime du Saint- Laurent, entre Montréal et le lac Érié. Plus de détails à www.voiemaritime.com.

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Avantage Saint-Laurent : Près de 4 M$ à l’INREST pour le projet Enviro-Actions à Saguenay et à Sept-Îles

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Saguenay, le 10 mars 2022. – La ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal, Mme Chantal Rouleau, accompagnée de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean, Mme Andrée Laforest, est fière d’annoncer l’octroi d’une aide financière de 3 677 948 $ à l’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) dans le cadre de son projet-pilote Enviro-Actions déployé à Saguenay et à Sept-Îles.

Les sommes investies permettront à l’INREST d’implanter un modèle de gestion environnementale proactive qui vise la mise en place de plusieurs systèmes de captage des données et d’un système d’alertes environnementales. Les gestionnaires des zones portuaires disposeront ainsi de données crédibles, en temps quasi réel, sur la qualité de l’air, de l’eau et l’environnement sonore sur leur territoire. En améliorant la compréhension des effets des activités portuaires sur l’environnement, ce projet appuiera les administrations portuaires dans leur prise de décision, tant sur le plan de la planification des activités que sur celui de la prévention.
Le projet de l’INREST s’inscrit dans la nouvelle vision maritime du gouvernement du Québec, Avantage Saint-Laurent, dont l’un des objectifs est de garantir, sur le fleuve et le Saguenay, une navigation efficace et respectueuse des écosystèmes, en plus d’y établir un corridor économique intelligent.

Citations

« Avec Avantage Saint-Laurent, nous visons à faire de nos voies navigables un espace connecté, organisé et cohérent. C’est pourquoi nous sommes fiers de soutenir l’INREST dans la mise en oeuvre d’Enviro-Actions. Ce projet précurseur et riche de possibilités fera du fleuve et du Saguenay un corridor concurrentiel majeur, propice à la croissance de notre économie bleue, dans le respect des écosystèmes. »

Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Je félicite l’INREST et le port de Saguenay pour cette magnifique initiative. Je suis très heureuse que notre gouvernement encourage la sauvegarde de notre patrimoine maritime et de notre environnement au Saguenay–Lac-Saint-Jean. En effet, ce financement permettra la mise en place d’outils pour assurer une cohabitation harmonieuse entre les activités de la filière du transport maritime et nos milieux naturels, qui font la renommée et la fierté de notre région. »

Andrée Laforest, ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean

« Par ses activités et sa position stratégique, le port de Sept-Îles est un acteur clé du réseau portuaire du Québec et de l’Est du Canada. La présence d’un système de captage de données dans la zone portuaire lui permettra de se distinguer et de continuer son évolution axée sur le développement durable. Ce système est un réel atout pour la région et la préservation de ses milieux naturels. Notre gouvernement est fier de contribuer au maintien de l’écosystème maritime de la Côte-Nord. »

Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable des régions de la Côte-Nord et de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine

« Le fjord du Saguenay est un écosystème unique en Amérique du Nord. C’est aussi un corridor de navigation vital pour le développement économique de notre région et particulièrement pour les municipalités de Dubuc. Il est crucial que notre gouvernement poursuive cette implantation d’un modèle de gestion environnemental proactif. Cette volonté responsable nous propulsera vers l’amélioration nécessaire des pratiques et usages en matière de transport maritime. Je reconnais du coup l’engagement de tous les partenaires associés au projet Enviro-Actions. Cette approche concertée balise notre détermination commune à identifier des solutions harmonieuses et scientifiquement éprouvées. Nous allons ainsi accoster en zone d’équilibre. »

François Tremblay, député de Dubuc

« L’investissement annoncé aujourd’hui de près de 9 M$ au projet pilote Enviro-Actions confirme la volonté du gouvernement du Québec, du port de Sept-Îles, du port de Saguenay, de Rio Tinto Aluminium et de Promotion Saguenay de préserver les écosystèmes et la biodiversité du fleuve Saint-Laurent et le Saguenay. Cet engagement financier permettra de fournir aux gestionnaires des outils innovants, contribuant au développement durable, et positionne le Québec comme un leader à l’échelle nationale dans la gestion environnementale préventive en zone industrielle et portuaire. »

Julie Carrière, directrice générale de l’INREST

« Le port de Sept-Îles désire féliciter l’INREST pour la récolte de si nombreux appuis pour le déploiement de son projet Enviro-Actions sur le fleuve et au Saguenay. La mise sur pied par le Port et l’INREST, en 2013, de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles, le premier du genre sur le Saint-Laurent, aura été le précurseur du développement de ce modèle novateur et le signe du leadership régional pour la protection de ses écosystèmes marins. Le Port est donc fier d’annoncer aujourd’hui une contribution importante de 2,5 M$ sur 5 ans pour l’implantation d’Enviro-Actions, qui permettra l’instrumentalisation et le développement d’outils de gestion veillant à maintenir notre leadership dans la préservation des précieux écosystèmes des zones côtières et portuaires du Québec.»

Pierre Gagnon, président-directeur général du port de Sept-Îles

« Le port de Saguenay est très fier de s’engager dans le projet Enviro-Actions qui permettra de faire avancer les connaissances scientifiques, ainsi que la compréhension et la protection du milieu où il évolue. Cette initiative s’inscrit directement dans les nouvelles orientations de notre plan de développement durable et dans notre volonté d’être innovants, proactifs et d’agir en leaders dans notre communauté. Enviro-Actions aidera l’ensemble de l’industrie maritime à améliorer les mesures, les outils et les bonnes pratiques afin de favoriser la prévention, la cohabitation et la préservation du milieu. Ce projet vient appuyer le développement responsable de la zone industrialo-portuaire du port de Saguenay et confirme l’importance stratégique du corridor de commerce de la rivière Saguenay au sein de la voie maritime du Saint-Laurent et des Grands Lacs. »

Carl Laberge, président-directeur général du port de Saguenay

« Rio Tinto est toujours soucieux de protéger l’environnement dans les communautés où nous sommes présents. Nous sommes très heureux d’être parmi les premiers à soutenir l’INREST à la hauteur de 1,5 million de dollars pour les cinq prochaines années, afin de déployer le projet pilote innovateur Enviro-Actions dans la zone portuaire du Saguenay. L’apport des partenaires démontre l’importance de ce projet, qui permettra notamment l’acquisition et le transfert de connaissances sur la qualité de l’air et de l’eau, ainsi que sur le bruit sous-marin. Ce système de gestion préventive contribuera à la poursuite de nos activités de transport maritime dans le respect de l’écosystème du Saguenay. »

Martin Lavoie, directeur des installations portuaires et des services ferroviaires de Rio Tinto Aluminium

« La navigation sur le Saguenay est au coeur de l’activité économique et touristique de notre ville et de notre région. En tant qu’organisme consacré au développement et à la diversification économique durables de Saguenay, il est donc tout naturel pour Promotion Saguenay de soutenir un projet aussi innovant et structurant qu’Enviro-Actions. Nous sommes très heureux de contribuer ainsi à faire progresser la connaissance scientifique à propos de la flore et de la faune marine du Saguenay, et à participer concrètement au développement responsable du corridor maritime du Saguenay, qui fait partie intégrante de la voie maritime du Saint-Laurent. Nous sommes fiers de contribuer, en collaborant avec des partenaires d’envergure, à positionner notre milieu comme un pôle innovant et proactif dans l’écosystème du Saguenay et du Saint-Laurent. »

Priscilla Nemey, directrice générale de Promotion Saguenay

Faits saillants

• Ce projet se déroulera jusqu’en 2026 afin d’évaluer son efficacité avant de planifier un éventuel déploiement au sein d’autres zones portuaires.
• L’investissement total d’Enviro-Actions s’élève à près de 9 M$

Pour Sept-Îles :

Port de Sept-Îles : 2,5 M$

Pour Saguenay :

Rio Tinto : 1,5 M$
Port de Saguenay : 575 000 $
Promotion Saguenay : 575 000 $
– Le corridor économique intelligent vise à faire de l’espace maritime québécois un lieu où les acteurs concernés peuvent tirer avantage des nouvelles technologies de l’information, de l’intelligence artificielle et de l’automatisation pour améliorer leurs activités et réduire leur empreinte environnementale.
– Les projets développés dans le cadre du corridor économique intelligent devront se démarquer par :
o leur caractère structurant;
o leur possibilité de déploiement dans différents milieux;
o l’adhésion de leurs utilisateurs potentiels;
o leur effet anticipé sur les deux grands objectifs du corridor :
▪  accroître la compétitivité de la filière du transport maritime;
▪  réduire les conséquences environnementales du transport maritime.

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Sources :

Catherine Boucher
Attachée de presse
Cabinet de la ministre déléguée aux Transports
et ministre responsable de la Métropole
et de la région de Montréal
Tél. : 418 802-6833

Bénédicte Trottier
Attachée de presse
Cabinet de la ministre des Affaires municipales et de l’Habitation et ministre responsable de la région du Saguenay–Lac-Saint-Jean
Tél. : 514 686-7100

Pour information :

Relations avec les médias
Direction générale des communications
Ministère des Transports
Tél. : Québec : 418 644-4444
Montréal : 514 873-5600
Sans frais : 1 866 341-5724

 

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L’INREST RÉCOLTE 4,5 M$ POUR LE PROJET ENVIRO-ACTIONS AU PORT DE SEPT-ÎLES

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SEPT-ÎLES, le 10 MARS 2022 – L’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) et le Port de Sept-Îles sont très heureux d’annoncer conjointement l’appui du gouvernement du Québec à la hauteur de 1,998 M$ pour l’implantation de la zone pilote principale de développement et de démonstration du modèle Enviro-ActionsMC dans la baie de Sept-Îles.

Ce projet totalisant près de 4,5 M$ recevra également une contribution financière importante du Port de Sept-Îles de 2,5 M$ afin d’assurer son déploiement durant les cinq prochaines années. Ces investissements majeurs pour la préservation de l’écosystème de la zone industrialo-portuaire (IP) de Sept-Îles sont rendus possibles grâce à la Stratégie maritime du gouvernement du Québec « Avantage Saint-Laurent » qui souhaite parmi ses nombreux objectifs, garantir une navigation respectueuse des écosystèmes sur le fleuve, et d’y établir un corridor économique intelligent.

Le projet pilote Enviro-Actions permettra d’adapter le savoir-faire et les outils développés avec la mise sur pied en 2013 de l’Observatoire de veille environnemental de la baie de Sept-Îles pour que son application puisse être possible pour d’autres zones IP du Québec. Dans les faits, ce projet innovateur combine l’expertise et la technologie de pointe afin d’évaluer la qualité de l’environnement et d’intégrer des mesures d’atténuation des impacts environnementaux et du changement climatique par le biais d’outils de suivi en temps quasi réel afin de détecter de façon préventive de potentielles contaminations environnementales et d’adopter rapidement des mesures de rectification.

« Avec Avantage Saint-Laurent, nous visons à faire de nos voies navigables un espace connecté, organisé et cohérent. C’est pourquoi nous sommes fiers de soutenir l’INREST dans la mise en oeuvre d’Enviro-Actions. Ce projet précurseur et riche de possibilités fera du fleuve et du Saguenay un corridor concurrentiel majeur et propice à la croissance de notre économie bleue. »

Chantal Rouleau, ministre déléguée aux Transports et ministre responsable de la Métropole et de la région de Montréal

« Par ses opérations et sa position stratégique, le port de Sept-Îles est un acteur clé du réseau portuaire du Québec et de l’Est du Canada. La présence d’un système de captage de données dans la zone portuaire lui permettra de se distinguer et de continuer son évolution axée sur le développement durable. Ce système est un réel atout pour notre région et la préservation de ses milieux naturels. C’est un grand bonheur pour moi que notre gouvernement contribue au maintien de l’écosystème maritime de la Côte-Nord. »

Jonatan Julien, ministre de l’Énergie et des Ressources naturelles et ministre responsable des régions de la Côte-Nord et de la Gaspésie–Îles-de-la-Madeleine

« Au cours des dernières années, l’INREST a su démontrer sa capacité à diriger et à réaliser des projets innovateurs d’envergures et a reçu un appui précieux du gouvernement du Québec, du Port de Sept-Îles et du milieu lui permettant aujourd’hui de se positionner, ainsi que sa division le Centre d’expertise industrialo-portuaire (CEIP), comme un acteur clé au niveau provincial et national, dans la préservation des écosystèmes en zone portuaire et industrielle. Le gouvernement du Québec et le Port de Sept-Îles sont des partenaires clés pour l’INREST, et confirment à nouveau leur volonté ainsi que leur engagement à prioriser la préservation de l’environnement dans un développement durable. »

Dre Julie Carrière, directrice générale, INREST-CEIP

« La mise sur pied par le Port et l’INREST en 2013, de l’Observatoire de veille environnementale de la baie de Sept-Îles, le premier du genre sur le Saint-Laurent, aura été précurseur au développement de ce modèle novateur, et atteste du leadership régional pour la protection de ses écosystèmes marins. Le Port est donc fier de contribuer majoritairement dans le projet de l’implantation d’Enviro-Actions permettant à notre zone industrialo-portuaire de figurer parmi les leaders en matière d’instrumentalisation et le développement d’outils de gestion pour la veille environnementale des précieux écosystèmes des zones côtières et portuaires du Québec. »

Pierre D. Gagnon, président-directeur général du Port de Sept-Îles.

La mise en place du modèle Enviro-ActionsMC en zones IP permettra entre autres de :

  • Mesurer et suivre en temps quasi réel plusieurs données sur la qualité de l’eau, de l’air ainsi que de l’environnement sonore des écosystèmes en zones IP ;
  • Mettre en place un système d’alertes environnementales destinées aux gestionnaires en zones IP visant à accroître la réactivité avant qu’un incident ne survienne (mode prévention) ;
  • Mieux outiller l’ensemble des administrations portuaires et des gestionnaires en zones IP dans la mesure des effets de leurs activités sur l’environnement ainsi que dans la prise de décisions, incluant la gestion environnementale de la zone IP, tout en répondant aux attentes et aux préoccupations du milieu ;
  • Recueillir des données crédibles et actualisées ayant une neutralité scientifique favorisant une acceptabilité sociale ;
  • Fournir une meilleure compréhension des impacts environnementaux présents et de l’évolution de ces impacts dans le futur permettant ainsi d’identifier des enjeux et des solutions de préservation des écosystèmes dans un développement durable ;
  • Mesurer les résultats des efforts de conservation et d’amélioration environnementale dans la zone IP.
  • D’intégrer la gestion des données selon des approches novatrices de « big data » et « d’intelligence artificielle » afin de faire de l’analyse tendancielle ou prédictive, dresser des profils, anticiper des risques et suivre des phénomènes en temps quasi réel.

À PROPOS DU PORT DE SEPT-ÎLES
Disposant d’installations diversifiées et efficaces, le Port de Sept-Îles est le plus important port minéralier en Amérique du Nord avec un volume anticipé de près de 40 millions de tonnes en 2022. Il est également reconnu comme le plus important terminal portuaire de l’industrie de l’aluminium primaire des Amériques pour son volume d’activités. La présence des infrastructures portuaires de Sept-Îles joue un rôle vital et stratégique en support de l’économie de l’est du Canada. Pionnier sur le Saint-Laurent avec l’implantation du premier observatoire de veille environnementale de son écosystème marin, le développement durable est bien ancré dans ses valeurs et ses actions.

À PROPOS DE l’INREST/CEIP
L’Institut nordique de recherche en environnement et en santé au travail (INREST) est un organisme à but non lucratif qui s’intéresse aux questions environnementales et de santé au travail. L’INREST s’est démarqué sur la scène internationale par l’implantation du plus important observatoire environnemental en zone industrialo-portuaire pour la préservation des écosystèmes marins au Québec, ainsi que par la création du Centre d’Expertise industrialo-portuaire (CEIP), division de l’INREST. Le CEIP division de l’INREST, a comme projet phare l’implantation d’observatoires environnementaux et l’instrumentalisation du territoire maritime du Québec dans un but de conservation des écosystèmes dans l’ensemble des zones portuaires et industrielles du territoire, incluant la collecte de données en direct et l’émission d’Enviro-AlertesMC tel que dicté par le modèle de gestion préventive « Enviro-ActionsMC ».

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Source :
Patsy Keays, directrice, Affaires corporatives Kim Doiron, directrice adjointe
& secrétaire corporatif INREST
Port de Sept-Îles 418 732-4405
418 961-1235 kim@inrest.ca
pkeays@portsi.com

 

 

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Journée de la femme 2022 : Madeleine Paquin – Présidente et chef de la direction de LOGISTEC

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Madeleine Paquin
Présidente et
Chef de la direction

LOGISTEC

1. Qu’est-ce qui caractérise votre parcours professionnel?

J’ai grandi entourée de gens fascinés par l’innovation, prêts à toujours aller plus loin et à défier le statu quo. Mes racines remontent à la fondation du Canada sur les rives du Saint-Laurent. Mon père, Roger Paquin, converti aux vertus de l’eau et pleinement conscient de l’importance que revêtent pour l’économie canadienne nos voies navigables et nos jeunes ingénieurs qui travaillent sur les quais, a fondé LOGISTEC en 1952.

Son ambition, sa passion et sa pensée novatrice m’ont incitée à prendre la suite, et notre volonté d’offrir des solutions sûres, durables et originales sur le plan technologique dans les secteurs maritime et environnemental n’a jamais fléchi. j’ai réussi à travailler avec d’autres personnes passionnées et ambitieuses dans tous les secteurs, des gens qui aspirent toujours à ce qu’il y a de mieux.

Ma carrière de présidente et chef de la direction de LOGISTEC a été marquée par de nombreuses expériences et de nombreux apprentissages enrichissants, dont des études en Amérique du Nord et à l’étranger, des mentorats, des formations à bord de navires et sur les quais, des décisions difficiles, de nombreuses victoires et quelques échecs, des collaborations incroyables avec des clients et des partenaires de la chaîne d’approvisionnement, en étant accompagnée dans ce parcours par les personnes les plus talentueuses qui soient; et me voici 37 ans plus tard toujours amoureuse de mon travail

2. En tant que femme, quels ont été les principaux changements depuis votre entrée sur le marché du travail ?
Je suis heureuse de voir comment la diversité est maintenant reconnue comme un levier de performance et d’innovation important. De plus en plus de leaders ont la conviction que nous gagnerons, comme entreprises et société, à être davantage inclusif. La politique de promotion de la diversité ne doit pas s’articuler autour d’une quelconque nécessité d’atteindre des chiffres. On est à la recherche des meilleurs talents pour développer des solutions innovantes et créer une meilleure planète, un meilleur monde.

3. Quelle réalisation vous rend la plus fière?
Nous sommes en 2022 : l’année où nous célébrons le 70e anniversaire de LOGISTEC.  Depuis 1952, la famille LOGISTEC n’a pas seulement tenu bon, mais a vécu une croissance spectaculaire. La culture de LOGISTEC est ancrée dans son héritage riche, soutenu à travers les années par la pensée créative, l’ingéniosité et la collaboration. Le secret derrière la réputation de LOGISTEC en tant que partenaire d’affaire et de communautés précieux et fiable est nos personnes ingénieuses. Ils possèdent une passion incessante et une fierté pour ce qu’ils font et comment ils le font. Je suis extrêmement fière d’avoir assemblé cette superbe équipe autour d’une mission commune : bâtir et de partager notre expertise afin de contribuer au succès de nos clients et de nos collectivités et ultimement contribuer à un monde meilleur pour les générations futures.

4. Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui souhaitent suivre vos traces ?
Le plus grand honneur est d’être vous-même et de prendre le temps de découvrir pourquoi vous êtes venus, pourquoi vous êtes ici.

 

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Journée de la femme 2022 : Isabelle Brassard – Vice-présidente principale, logistique et développement durable de Fednav Limited

Isabelle Brassard
Vice-présidente principale,
Logistique et développement durable

Fednav Limited

Isabelle soutient la vision à long terme et les initiatives de durabilité de Fednav tout en supervisant l’ensemble des activités logistiques terrestres. Elle est également responsable des Relations externes et des Communications.

 

  1. Qu’est-ce qui caractérise votre parcours professionnel?

J’ai un parcours non-traditionnel d’ingénieure dans un milieu majoritairement masculin. Mes fonctions m’ont amenée à faire carrière dans plusieurs pays, avec des défis culturels importants, mais où mes rêves les plus fous ont été réalisés, voire dépassés.  Aller au bout de moi-même, c’est ce qui a toujours caractérisé mon parcours professionnel, repousser les limites.  Chaque nouveau rôle m’a sortie de ma zone de confort que ce soit sur le plan social, technique ou autres.

  1. Quels sont les obstacles les plus importants que vous avez dû surmonter pour vous épanouir dans le milieu du travail?

La confiance en soi est un élément clé pour faire face aux obstacles. J’ai toujours eu besoin de me dépasser et cette exigence envers moi-même m’amène parfois à sous-estimer mes résultats. Je dois donc me rappeler le chemin parcouru et l’apprécier. Il est certain que la confiance en soi vient aussi du milieu qui nous entoure et cet aspect est plus difficile à contrôler. Il y a encore beaucoup de biais dans la société.  J’ai cependant eu la chance d’avoir de très bons dirigeants qui ont cru en moi et qui m’ont ouvert les portes. C’est ce que je fais à présent pour d’autres. J’aimerais formuler la question différemment : Qu’est-ce qui m’a le plus aidée? Et la réponse est simple, des parents qui m’ont soutenue dès mon plus jeune âge, qui m’ont toujours dit que tout était possible et un conjoint qui demeure mon plus grand fan.

 

  1. En tant que femme, quels ont été les principaux changements depuis votre entrée sur le marché du travail ?

Beaucoup de choses ont changé pour le mieux. Il est cependant désolant que certains débats soient encore d’actualité alors qu’ils devraient être depuis longtemps derrière nous. Par exemple, pourquoi devrions-nous expliquer la valeur de la diversité et convaincre des leaders de son mérite? Au début de ma carrière, j’étais vraiment la minorité dans un milieu d’hommes. J’évitais à tout prix d’être une exception. Je me fondais dans la masse et plusieurs femmes faisaient comme moi.  Lorsque la situation se corsait ou que les propos étaient plus durs, on nous disait de se forger une carapace.  À présent, les comportements ou propos inacceptables ne sont plus tolérés. Il y a davantage de modèles féminins et c’est un rôle que je prends très au sérieux.  En ce qui a trait à l’équité, à la parité et au respect, du chemin reste à faire, mais il y a eu d’énormes progrès.

  1. Quelle réalisation vous rend la plus fière?

Mon passage à Oman au Moyen-Orient. Une expérience difficile mais tellement enrichissante (j’ai dû faire face à de la turbulence politique dans la communauté). Je suis très fière de ce que j’ai accompli, du rôle que j’ai pu exercer auprès des femmes, de l’apprentissage culturel acquis en travaillant avec des gens de plusieurs pays, et ce, dans un milieu de vie vraiment différent. Milieu où je n’avais plus mes repères. J’ai développé énormément de résilience et eu une meilleure compréhension des différences culturelles. J’ai ainsi développé beaucoup plus d’inclusivité dans mon approche en général. Il m’a fallu rapidement faire appel à mon intelligence émotionnelle plutôt qu’à une approche strictement rationnelle.

  1. Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui souhaitent suivre vos traces ?

D’être entourées de gens qui vous poussent vers le haut plutôt que vers le bas. Des gens qui créent un milieu favorable à votre épanouissement.  Ne jamais accepter les limites que certains fixent à votre égard, tout est possible à condition d’y mettre les efforts.  N’ayez pas peur de foncer. Il n’y a pas d’échecs, seulement des apprentissages.

 

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Journée de la femme 2022 : Mélanie Leblanc – Directrice de l’Institut maritime du Québec

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Mélanie Leblanc
Directrice
Institution maritime du Québec

En tant qu’acteur du milieu de l’éducation, j’ai le devoir de préparer la relève pour l’industrie, mais aussi de préparer l’industrie pour la relève!

1. Qu’est-ce qui caractérise votre parcours professionnel ?

J’ai toujours eu une grande fascination pour la mer et le fleuve, mais je ne savais pas qu’on pouvait y faire carrière! Alors que j’étais à l’université dans un domaine tout autre, j’ai rencontré un capitaine qui m’a parlé de l’IMQ et des extraordinaires carrières maritimes. Ce fut la plus belle découverte de ma vie m’ayant ainsi conduite sur les bancs de l’IMQ à Rimouski!

Mon parcours professionnel a débuté comme officière sur les mers du monde et le fleuve, s’est poursuivi dans les classes de navigation comme enseignante, ensuite comme adjointe à la direction au Service aux élèves puis en tant que directrice de l’IMQ! Je souhaitais, par-dessus tout, jouer un rôle influent dans cette industrie que j’ai immédiatement trouvée dynamique, prospère et unie, mais aussi, je dois le dire, très conservatrice. Je me suis tout de suite dit que ça manquait un brin de diversité et que je pouvais faire partie du changement!

2. Quels sont les obstacles les plus importants que vous avez dû surmonter pour vous épanouir dans le milieu du travail ?

Honnêtement, les obstacles les plus importants sont psychologiques et que je me suis moi-même imposés : le doute, le sentiment d’imposteur. Je constate que ce sont des sentiments très ancrés chez nombre de femmes et qui sont exacerbés quand on se retrouve dans un milieu de longue tradition et représentation masculine. Le secret de la réussite : demeurer soi-même, se faire confiance et prendre sa place. Une fois que l’on comprend que notre différence c’est notre meilleur atout, on s’assume et on avance!

3. En tant que femme, quels ont été les principaux changements depuis votre entrée sur le marché du travail ?

La présence des femmes est monnaie courante dans le monde de l’éducation. Prendre ma place dans l’industrie comme directrice de l’IMQ me semble donc une entrée à pas feutrés dans la sphère du leadership maritime. L’ouverture au changement est présente et je me suis toujours senti la bienvenue dans l’industrie, mais le changement se fait à petits pas! Je dois l’admettre, j’ai hâte de voir une plus grande diversité! Le nombre de femmes qui joignent l’industrie est encore très faible et a très peu augmenté dans les 20 dernières années. Ce sont tous les acteurs de l’industrie qui ensemble doivent porter le message qu’il y a une place de choix pour les femmes dans le domaine maritime. Il faut en faire la promotion, mais aussi le faire vivre par des actions significatives et concrètes! Je le vois, c’est en mouvance grâce aux jeunes qui nous poussent à l’action!

4. Quelle réalisation vous rend la plus fière ?

Ce n’est pas tant une réalisation précise, mais plutôt un état d’être! L’IMQ, c’est une partie de ma vie… J’aime profondément cette organisation, mais surtout, les humains passionnés qui la composent. Depuis plus de 20 ans, j’y ai grandi professionnellement et personnellement. Les deux dernières années de pandémie ont été particulièrement difficiles et j’ai vu des humains engagés et solidaires travailler ensemble et se réinventer pour la réussite de nos élèves. Ce sont les enseignants, le personnel de l’IMQ, mais aussi plusieurs acteurs et partenaires de l’industrie qui se sont ralliés autour de la relève. Savoir que je joue un rôle mobilisateur pour rallier tous ces gens autour de notre mission, ça me rend fière!

Un vent de changement souffle sur les besoins en éducation et le futur est emballant si on y contribue tous ensemble!

5. Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui souhaitent suivre vos traces ?

Faites-vous confiance et prenez votre place en demeurant fidèle à qui vous êtes.

L’industrie maritime a besoin des femmes et des gens issus de la diversité pour changer et se moderniser sur le plan humain. L’industrie maritime en est une de résultats, mais le secret de sa pérennité repose sur la capacité qu’elle aura de faire preuve d’ouverture et d’écoute, d’accompagner, de former et d’impliquer la relève. Pour y arriver, j’en suis certaine, ça prend des équipes composées d’hommes et de femmes. Ces femmes-là, on les attend!

 

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Journée de la femme 2022 : Julie Lambert – Première vice-présidente du Groupe Desgagnés Inc.

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Julie Lambert
Première vice-présidente, Vrac liquide
Groupe Desgagnés inc.

 

L’industrie se modernise grâce à la technologie et elle s’est grandement diversifiée. Il existe désormais de nombreuses opportunités pour les femmes dans ce secteur.


1. Qu’est-ce qui caractérise votre parcours professionnel ?

Mon parcours professionnel n’a pas été un long fleuve tranquille. Ayant grandi en Saskatchewan, je n’imaginais certainement pas à l’époque que j’occuperais le poste actuel au sein de Groupe Desgagnés. Ce qui caractérise mon parcours, c’est de garder l’esprit ouvert et de saisir les occasions qui se présentent.


2. Quels sont les obstacles les plus importants que vous avez dû surmonter pour vous épanouir dans le milieu du travail ?

Après plus de 15 ans d’expérience dans la pratique du droit, j’ai décidé d’assumer un rôle commercial. J’ai quitté un poste où je disposais d’une expérience et d’une expertise considérables pour assumer un nouveau rôle qui m’obligeait à exploiter un ensemble de compétences différentes. Ce qui faisait de moi un bon avocat ne faisait pas nécessairement de moi un bon dirigeant. Il a été très difficile, mais aussi très gratifiant, de relever ces défis et d’évoluer dans mon nouveau rôle.

3. En tant que femme, quels ont été les principaux changements depuis votre entrée sur le marché du travail ?
Lorsque j’ai commencé à travailler, il y avait beaucoup moins de femmes dans les postes à responsabilité, que ce soit dans les conseils d’administration ou les postes de direction. Depuis 2012, j’ai personnellement constaté un changement substantiel dans le secteur maritime, beaucoup plus de femmes sur les navires, mais aussi à des postes de direction.

4. Quelle réalisation vous rend la plus fière?
Il y a plusieurs années, je travaillais sur quelques contrats jugés essentiels à la poursuite des activités d’une importante unité commerciale dans un pays étranger. J’ai dû rapidement assumer un rôle critique dans ces transactions et assumer des responsabilités qui ne m’incombaient pas dans une équipe où il manquait plusieurs membres seniors importants. J’ai dû pallier l’absence des membres de l’équipe dans un pays et une culture que je commençais juste à connaître. Malgré tous ces défis, nous avons réussi à trouver un accord et à finaliser ces affaires. Aujourd’hui encore, je reçois des courriels de reconnaissance de l’équipe locale pour mon rôle dans ces transactions.

5. Quels conseils donneriez-vous aux femmes qui souhaitent suivre vos traces ?
Ne pas se limiter à une idée ou un plan de carrière préconçu. Saisir toutes les opportunités. Ne pas se laisser intimider par les obstacles. Avec de la résilience et de la persévérance, on peut les surmonter un par un. C’est ce qui rend le parcours intéressant et gratifiant.

 

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Nomination de messieurs Félix Hamel et Denys Bernard à titre d’administrateurs

Trois-Rivières, le 22 février 2022 – L’Administration portuaire de Trois-Rivières (APTR) est heureuse d’annoncer les nominations de messieurs Félix Hamel et Denys Bernard au sein de son conseil d’administration. Ces nouveaux administrateurs ont été nommés pour des mandats de trois ans par Son Excellence la Gouverneure générale en conseil.

Diplômé d’un double baccalauréat en Entreprenariat & Management innovateur et en Finance à l’Université du Québec à Trois-Rivières, monsieur Hamel a débuté sa carrière comme conseiller financier et en financement chez Desjardins. En 2011, il a repris les rênes de l’entreprise Les Gestions Thrace inc. qui offre des services de gestion immobilière. Promoteur, investisseur immobilier et associé dans l’entreprise depuis près de 10 ans, il en assure aujourd’hui le titre de président-directeur général. Monsieur Hamel est impliqué dans sa communauté au sein de différents organismes, entre autres à titre d’administrateur pour la Caisse Desjardins de Trois-Rivières.

Monsieur Denys Bernard est détenteur d’un baccalauréat en géographie physique de l’Université de Sherbrooke. Il a aussi complété des formations spécifiques en finances, gestion financière et fiscalité à l’École nationale d’administration publique ainsi qu’en gestion des terres et développement économique auprès de Services autochtones Canada. Directeur général du Grand Conseil de la nation Waban-Aki depuis 2005, monsieur Bernard est toujours à l’affût des opportunités d’affaires qui contribuent au développement et à la croissance de son organisation, notamment en lui permettant même d’exporter l’expertise développée vers de nombreuses communautés autochtones et organisations privées. Monsieur Bernard est également impliqué à titre d’administrateur au sein de la Commission de développement économique des Premières Nations et du Parc régional du Mont-Ham.

La présidente du conseil d’administration de l’APTR, madame Danielle St-Amand, a déclaré : « Nous sommes très heureux d’accueillir messieurs Hamel et Bernard au sein du conseil d’administration du Port de Trois-Rivières. Par leurs compétences et expertises avérés, ils apporteront une contribution significative au déploiement de notre plan de développement Cap sur 2030 ».

À propos du Port de Trois-Rivières

Faisant partie des 17 administrations portuaires canadiennes, et actif depuis 1882, le Port de Trois‑Rivières offre, en toutes saisons, une vaste gamme d’installations et de services à l’industrie maritime. Il est un acteur important dans le développement économique sur le plan régional, national et international pour des secteurs industriels majeurs tels que l’aluminium, la foresterie et l’agroalimentaire. Le Port de Trois-Rivières accueille annuellement 55 000 camions, 11 000 wagons et plus de 250 navires marchands et de croisières provenant d’une centaine de ports situés dans plus de quarante pays à travers le monde. Il manutentionne un trafic de près de 4 M de tonnes métriques et soutient plus de 2 000 emplois directs, indirects et induits.

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Source : Sara Dubé
Directrice Affaires publiques
Tél. : 819 378-2887, poste 207
Cell. : 819 244-7191

 

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